De plus en plus de personnes souscrivent un contrat auprès de leur banque, assurance ou mutuelle, afin de décharger leurs proches du
financement de leurs obsèques.

Il arrive parfois qu’un groupement funéraire soit désigné par défaut comme bénéficiaire sur certains contrats. Le bénéficiaire est la personne ou l’organisme à qui sera versé le capital, une fois le décès survenu et les prestations réalisées. Au moment d’un décès, les familles en deuil
sont ainsi dirigées vers l’entreprise désignée, qui n’est pas forcément leur choix, ni celui du défunt !

De manière beaucoup plus fréquente, une carte ou une documentation est jointe au contrat, sur laquelle figure un numéro d’assistance d’une
plateforme aux ordres de la banque, assurance ou mutuelle qui dirige les familles en deuil vulnérables dans ces moments-là.

Ces accords, au préjudice des familles, augmentent indirectement le coût des prestations funéraires en raison des commissionnements exigés
et tendent à faire baisser la qualité des services fournis.


CES PRATIQUES DOIVENT ÊTRE DÉNONCÉES.

Elles sont interdites au vu de la loi 93-23 du 8 janvier 1993.

Les souscripteurs de contrats obsèques ou les familles en deuil sont LIBRES DE CHOISIR leur entreprise de pompes funèbres.
Ce n’est pas à la banque, assurance, mutuelle ou au plateau d’assistance de décider à leur place !

Ces dérives s’opèrent depuis de nombreuses années. Un grand nombre de contrats obsèques ont été et sont prescrits quotidiennement.
De la prescription en découle l’exécution des contrats. Les contrats prescrits il y a plusieurs années sont exécutés aujourd’hui, au décès du souscripteur.

La situation prend ainsi une ampleur de plus en plus importante.

Il devient urgent de stopper ce phénomène et de rendre aux familles leur liberté de choisir leur entreprise.



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